Top articles

  • VIRGINIA TECH : "Grâce à vous, je meurs comme Jésus-Christ"

    19 avril 2007 ( #Archives ancestrales )

    "VOUS M'AVEZ COINCÉ" "Vous avez eu cent milliards de chances d'éviter aujourd'hui. Mais vous avez décidé de verser mon sang. Vous m'avez coincé dans un coin et laissé une seule possibilité. La décision, c'est vous qui l'avez prise. Le sang que vous avez...

  • HELAS !

    07 février 2006 ( #Archives ancestrales )

    Pour une durée indéterminée tirant plutôt sur le court, Le dissidrome ne pourra être nourri. Nous nous excusons de n'être en mesure de pourvoir à vos besoin d'étrangetés lâchées comme des pets dans le monde virtuel mais nous tranquilisons toutefois notre...

  • ô Internet ! Vaste bidule !

    14 avril 2007 ( #LIENS )

    NAP NUMERIZE AND PRAY : Des photos, mais sans mon chat ni mon hamster à la plage. KNOXX KORNER : Ses Klaymations Notre bêtise Un mal nécessaire. FAT PIE : Sûrement ce qui se fait de mieux en animation Flash CHICOU CHICOU : Une grande blonde bourrue, une...

  • Rodolphe : Autoportraits, portraits..

    23 décembre 2005 ( #Archives ancestrales )

    _ Vous êtes triste vous êtes noir Je suis joyeux et je suis noir _ Vous êtes mauvais vous êtes rouge Je suis bon et je suis rouge _ Vous êtes méprisant Je suis à l’Ecoute _ Vous êtes vieux Je suis De Demain _ Vous êtes insidieux J e suis Fracassant _...

  • Introduction

    14 avril 2006 ( #(Archive) Rodolphe In HELL (VIEUX) )

    Oyez oyez Rodolphe a le très grand plaisir de vous annoncer un nouveau strip, ainsi qu'un nouveau champs rien que pour ce petit chose : RODOLPHE IN HELL Voici l'introduction, sur deux planches en attendant le bon vieux 4 cases/une ligne. Click on it,...

  • OBERER

    06 mars 2008 ( #Les délices du barbare )

    Obérer : v. tr. – 1680 ; au p. p. 1596 ; Latin obaeratus « endetté » 1/ Admin. Ou Littér. Charger, accabler de dettes (= endetter) – Pronom vx. S’obérer : s’endetter. 2/ Compromettre, nuire à. Ex. Mortimer, il nous faut obérer les plans de l’infâme Olrik...

  • En attendant Noël

    20 décembre 2005 ( #Archives ancestrales )

    Bonsoir, bonjour où tout autre moment d'errance internautique, plouf plouf. Je n'ai pas pu m'approcher de mon pécé ces quatre derniers jours et vous ai donc délaissés quelque peu, chers amis internautres. Vilaine chose fainéante va. CEPENDANT Je vous...

  • Neu

    27 mars 2005 ( #Archives ancestrales )

    Mon ami Neu répète que l'on ne connaît qu'une seule grande phase d'inspiration au cours de son existence. Nous l'aimons, cependant il est cabot. Surtout, il craint plus que tout d'affirmer ses ambitions. Neu est un pianiste : il joue piano. De peur d'éveiller...

  • Trajectoires et saucisson

    22 mars 2005 ( #Archives ancestrales )

    Ce blog est né dans la précipitation. Un soir, un samedi soir peuplé d'amis, de lasagnes et de jeux de société, Waltz proposa d'étendre nos fastidieuses et capillotractées conversations de MSN sur un blog, de façon à rendre publiques les quelques étincelles...

  • Portrait de Rosemary

    25 mars 2005 ( #Archives ancestrales )

    Cette jeune fille était mince, presque fluette, et maniait un art inné de retourner les têtes sur son passage. Son visage était lisse, doux, et ses yeux évoquait un appétit naïf, peut être un peu béta, mais irrésistible. Un élan souriant, une absence...

  • Ma femme

    08 mai 2005 ( #Archives ancestrales )

    Ma femme à Jessica Ma femme fluette aux élans de catcheur Bijou brun sans attache joyau qui dort Quand le monde s’emballe dans le flot des mâcheurs Aigres acides noirs blancs et morts. Ma femme à la plaie laissant perler son souffle Indolente lutteuse...

  • Piece of train Août 2005

    10 décembre 2005 ( #Archives ancestrales )

    Il y a de la serennité à puiser dans ce train aux têtes clairsemées du petit matin. Je suis entré le boulet dans la gorge et le souffle court, relents coupe-mouvement d'une nuit de colère. Puis, peu à peu, sans tout d'abord percevoir les sourires apaisés...

  • Melody

    19 avril 2005 ( #Archives ancestrales )

    Et l'on attend dans le train. Heureux et vide. Loin les cahots, les sanglots des pénibles journées au blanc sans éclat. Le matin inhibe, le sommeil est rare, dans les bras de Melody. Elle brûle. J'ai vu une femme aux cheveux enflammés sauter d'un immeuble,...

  • Just a fleshwound

    08 mai 2006 ( #Archives ancestrales )

    Ça ne fait pas de mal, ce n’est qu’un peu de fumée. J’en admire les volutes, cette élégante densité qui se disperse progressivement dans l’appartement, le ciel s’est découvert dehors, qu’importe ? J’en rallume une autre, le goût âcre envahit mon palais,...

  • Le jeune homme en colère

    05 avril 2005 ( #Archives ancestrales )

    Je suis un jeune homme en colère. J ai cependant pour moi les âges digérés et la passion du geste. Rien du juste. J ai pour moi les jeux idiots. Un chambranle S ébranle. Et je n ai rien d autre à dire que je suis. Le vent se tait Chut Envols d oiseaux...

  • Les piquets, poème court

    30 mars 2005 ( #Archives ancestrales )

    Deux piquets éloignés, plantés loin des roseaux, Affrontent le vent dans une audace muette, Se tenant sans ciller sous les chutes d'oiseaux, sous leurs parts rejetées par leurs normes d'esthètes. Le ciel éteint, las, tout est blanc ici. Le souffle s'accorde...

  • Le peintre de vieilles dames

    17 janvier 2006 ( #Archives ancestrales )

    Piller la mine mourir un peu Il te dessine L'homme adipeux Les yeux sectionnent Ne saigne pas Qu'il peigne atone Les maigres bras -Son coup s'allonge- Ne bouge pas -Son coup s'allonge- Ne bouge pas Un iceberg dans le ciel Prisme et frimas L'indolence...

  • le petit gris

    20 mai 2005 ( #Archives ancestrales )

    Il pleut On rigole C est coule Les anges Espèrent Les anges Se battent Les anges S étirent Les anges Dansent Les anges Meurent Ils ne sont qu à vous seuls. Je marche sur un toit. Je déambule sur des tuiles humides Bordées d un vert de mousses Végétales,...

  • Le gros pourpre

    30 novembre 2005 ( #Archives ancestrales )

    Ne renifles pas. Eternues. Marches droit. Le pont s’écroule. Terrible éclat, rire nocturne La ville s’éteint quand j’éternue. La gorge des supplices comme un mauvais roman Je m’élève et je pisse dessus un bon moment. J’alimente les cendres, défaire les...

  • Novembre

    28 novembre 2005 ( #Archives ancestrales )

    Je n’attends rien. – Tu m’attends ! Je n’attends rien. – Tu m’attends ! Je n’attends rien. Il fait froid. Je le ressens. Rien de plus. La nuit tombe si tôt quand les arbres meurent. Les gens sont au bureau Les feus dans les demeures La Seine se taît Et...

  • Le reggae man

    12 avril 2005 ( #Archives ancestrales )

    Mars Les cahots du train sous les panneaux rouillés Ouyé Les soupirs humains éponges mouillées ouyé Le cri du reggae man les gens qui dorment mouillés, mouillés Outres de pluies qui se contiennent Au milieu le chant de l'âne. Saoule est musique Les soleil...

  • L'éveil est lent

    05 janvier 2006 ( #Archives ancestrales )

    L'éveil est lent. Une lumière diminuée et c'est tout le corps qui s'écroule, toujours prompt à épouser un geste tendre de mélancolie, les paumes ouvertes du désoeuvrement. Je suis un château construit sur une source, tantôt prospère, aussitôt ruines....

  • Manifeste

    27 avril 2005 ( #Archives ancestrales )

    Le simple refus ne suffit plus, Il confine à la haine. Nous devons trouver le moyen de blesser en épousant. Je ne laisserai pas ce monde exsangue m'ôter chair et muscles. Cependant, un poignet coupé, j'empourprerai ses joues de par mon sang qui perle....

  • Paix intérieure

    24 avril 2005 ( #Archives ancestrales )

    Paix intérieure L ogre mangea l enfant. Son repas terminé, il émit un profond soupir par les naseaux. Certes, ça n était pas mauvais, certes, ça croquait admirablement sous la dent, cependant cela ne valait pas, à son sens, la vindicte populaire qui découlait...

  • De l'appétit ; "Le choral du grand Baal" in "Baal", Bertolt Brecht

    23 février 2008 ( #Les autres )

    LE CHORAL DU GRAND BAAL Lorsque Baal grandissait dans le sein de sa mère, Déjà le ciel était très grand, calme et si pâle Et jeune et nu et formidablement étrange, Et tel que Baal l’aima, lorsque Baal se montra. Et le ciel restait là dans la peine et...

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